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Pékin veut rééduquer les moines tibétains

Posté par cercletibetverite le 8 avril 2015

  • http://www.lefigaro.fr/international/2015/04/08/01003-20150408ARTFIG00160-pekin-veut-reeduquer-les-moines-tibetains.php

    Pékin veut rééduquer les moines tibétains

Des moines tibétains en Inde, le 10 mars, lors de la marche célébrant l'anniversaire du départ du Dalaï Lama pour l'Inde, où il s'est exilé en 1959.
 

Cours de « patriotisme », «opérations de contrôles » et drapeaux rouges… le chef du parti communiste chinois au Tibet annonce, mercredi dans le Quotidien du Peuple, une série de mesures pour mettre sur la bonne voie idéologique les monastères de la région rebelle.

Patrick Saint-Paul, correspondant à Pékin.

Pékin veut transformer les monastères tibétains en lieux de propagande pour le Parti Communiste Chinois (PCC). Les moines et les nonnes devront y apprendre à «révérer» la science et à apprécier l’amour du Parti, a prévenu, mercredi, Chen Quanguo, chef du PCC dans la région troublée du Tibet. Leur «patriotisme» sera évalué et le drapeau rouge de la République populaire devra flotter sur les monastères, pour renforcer le contrôle idéologique de Pékin sur la région.

Les autorités vont intensifier les «opérations de contrôle» destinées à garantir des «monastères modèles et harmonieux», ainsi que des «moines et nonnes patriotiques, respectueux de la loi», a écrit Chen Quanguo. Ces opérations sont destinées à «faire sentir aux religieux les sentiments chaleureux et l’attention du Parti à leur égard», explique Chen, dans un texte du Quotidien du Peuple, journal porte-parole du PCC.

Chen juge que les 1700 temples et monastères ainsi que les 46.000 moines et nonnes tibétains doivent être considérés par le gouvernement comme des «amis». Selon lui, la construction en cours de nouvelles routes pour relier des lieux de culte isolés facilitera cette reprise en main.

Le drapeau rouge sur les monastères

Dans le même esprit, le drapeau rouge frappé d’étoiles jaunes sera déployé au-dessus des monastères, qui seront tous équipés de télévisions, radios, «connexions téléphoniques, de journaux et de salles de lecture», afin que les moines «s’éduquent eux-mêmes au patriotisme», a-t-il ajouté. «Les moines et les nonnes ne devraient pas avoir à sortir de leurs temples et monastères pour comprendre le parti, les politiques gouvernementales et le progrès social, ainsi que la paix, la stabilité et la bonne fortune dont jouit le Tibet, afin d’être guidés sur la voix de la culture scientifique», a-t-il dit.

Les organisations de défense des droits de l’Homme et les Tibétains en exil affirment que le parti athée piétine les traditions culturelles et religieuses des Tibétains, et qu’il cherche à coopter des figures religieuses pour préserver son influence. La Chine, qui a «libéré pacifiquement» le Tibet dans les années 1950, prétend garantir la liberté religieuse dans la province autonome, et affirme avoir sorti cette région du servage et de la pauvreté en lui apportant le développement.

Près de 140 Tibétains se sont immolés par le feu depuis 2008

Le régime communiste a durci son contrôle sur le Tibet depuis de violentes émeutes intervenues en 2008 à Lhassa, qui ont été accompagnées de manifestations dans plusieurs monastères. Les autorités avaient alors imposé une campagne d’«éducation patriotique» aux moines. Pékin tente d’empêcher les Tibétains d’accéder aux informations sur le dalaï lama, leur chef spirituel en exil, sur internet et les chaînes satellitaires. Cependant, nombre d’entre eux parviennent à contourner la censure.

Le régime communiste considère le dalaï lama comme «un loup déguisé en agneau» et accuse le Prix Nobel de la Paix de vouloir obtenir l’indépendance du Tibet par la violence. De son côté le chef spirituel tibétain, exilé en Inde depuis 1959, affirme vouloir simplement «l’autonomie réelle» pour sa région.

Les tensions restent vives: en tenant compte de tous les incidents connus, près de 140 Tibétains se sont immolés par le feu ou ont tenté de le faire depuis 2008 pour marquer leur révolte.

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Imposer le drapeau chinois sur les monastères tibétains?

Posté par cercletibetverite le 8 avril 2015

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2279715/2015/04/08/Imposer-le-drapeau-chinois-sur-les-monasteres-tibetains.dhtml

Imposer le drapeau chinois sur les monastères tibétains?

Par: rédaction
8/04/15 – 09h50  Source: Belga Imposer le drapeau chinois sur les monastères tibétains? dans Tibet media_xll_7618933 © reuters.

Un haut cadre du Parti communiste chinois (PCC) au Tibet a appelé mercredi à évaluer « le patriotisme » des moines et nonnes bouddhistes et à installer le drapeau rouge de la République populaire sur les monastères, pour renforcer le contrôle idéologique de Pékin sur la région.

media_l_7618937 dans Tibet © reuters.
media_l_7618925 © ap.

Les autorités vont intensifier les « opérations de contrôle » destinées à garantir des « monastères modèles et harmonieux » ainsi que des « moines et nonnes patriotiques, respectueux de la loi », a écrit le chef du PCC au Tibet, Chen Quanguo. Ces opérations sont destinées à « faire sentir (aux religieux) les sentiments chaleureux et l’attention du Parti à leur égard », poursuit M. Chen, dans un texte du Quotidien du Peuple, journal porte-parole du PCC.

Dans le même esprit, le drapeau chinois – rouge avec des étoiles jaunes – sera déployé au-dessus des monastères, qui seront tous équipés de « connexions téléphoniques, de journaux et de salles de lecture », afin que les moines « s’éduquent eux-mêmes au patriotisme », a ajouté Chen Quanguo. Selon lui, la construction en cours de nouvelles routes pour relier des lieux de culte isolés facilitera cette reprise en main.

De nombreux Tibétains dénoncent des politiques répressives menées par les autorités chinoises à l’encontre de leur culture et de leur religion, Pékin assurant de son côté avoir dopé le développement de la région. Le régime communiste a durci son contrôle sur le Tibet depuis de violentes émeutes intervenues en 2008 à Lhassa et accompagnées de manifestations dans plusieurs monastères. Les autorités avaient alors imposé une campagne d’ »éducation patriotique » aux moines. Les tensions restent vives: en tenant compte de tous les incidents connus, près de 140 Tibétains se sont immolés par le feu ou ont tenté de le faire depuis 2008 pour marquer leur révolte.

 

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Pékin veut tester le patriotisme des moines tibétains

Posté par cercletibetverite le 8 avril 2015

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/04/08/97001-20150408FILWWW00056-pekin-veut-tester-le-patriotisme-des-moines-tibetains.php

Pékin veut tester le patriotisme des moines tibétains

    • Par Le Figaro.fr avec AFP
    • Mis à jour le 08/04/2015 à 08:51
    • Publié le 08/04/2015 à 08:37

Un haut cadre du Parti communiste chinois (PCC) au Tibet a appelé aujourd’hui à évaluer « le patriotisme » des moines et nonnes bouddhistes et à installer le drapeau rouge de la République populaire sur les monastères, pour renforcer le contrôle idéologique de Pékin sur la région.

Les autorités vont intensifier les « opérations de contrôle » destinées à garantir des « monastères modèles et harmonieux » ainsi que des « moines et nonnes patriotiques, respectueux de la loi », a écrit le chef du PCC au Tibet, Chen Quanguo. Ces opérations sont destinées à « faire sentir les sentiments chaleureux et l’attention du Parti à leur égard », poursuit Chen Quanguo, dans un texte du Quotidien du Peuple, journal porte-parole du PCC.

Dans le même esprit, le drapeau chinois sera déployé au-dessus des monastères, qui seront tous équipés de « connexions téléphoniques, de journaux et de salles de lecture », afin que les moines « s’éduquent eux-mêmes au patriotisme », a ajouté Chen Quanguo. Selon lui, la construction en cours de nouvelles routes pour relier des lieux de culte isolés facilitera cette reprise en main.

De nombreux Tibétains dénoncent des politiques répressives menées par les autorités chinoises à l’encontre de leur culture et de leur religion, Pékin assurant de son côté avoir dopé le développement de la région. Le régime communiste a durci son contrôle sur le Tibet depuis de violentes émeutes intervenues en 2008 à Lhassa et accompagnées de manifestations dans plusieurs monastères. Les autorités avaient alors imposé une campagne d’ »éducation patriotique » aux moines.

Les tensions restent vives: en tenant compte de tous les incidents connus, près de 140 Tibétains se sont immolés par le feu ou ont tenté de le faire depuis 2008 pour marquer leur révolte.

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Un pasteur chinois victime de la campagne de démolition des lieux de culte

Posté par cercletibetverite le 7 avril 2015

Un pasteur chinois victime de la campagne de démolition des lieux de culte

Le pasteur Huang Yizi est le premier condamné pour s’être opposé à la démolition de la croix qui surmontait son temple dans le Zhejiang.

7/4/15 – 16 H 40

D’après un évêque de l’Église officielle, la campagne de destruction de lieux de culte aurait pris fin cette année.

L’été dernier, il s’était opposé à la démolition de la croix qui surmontait son temple. Fin mars, Huang Yizi, pasteur de Yingyang et membre de l’association officielle protestante chinoise, a été condamné à un an de prison pour « rassemblement illégal et troubles à l’ordre public ».

Il lui est reproché d’être allé demander des comptes au gouvernement du comté, accompagné de paroissiens : quelques jours plus tôt, une cinquantaine de fidèles avaient été battus par la police alors qu’ils gardaient l’entrée du temple pour empêcher les autorités de détruire la croix qui surmontait l’édifice. Il avait finalement été arrêté en août et la croix avait été démontée dans la foulée.

Campagne antireligieuse

L’avocat du pasteur a indiqué qu’il ferait appel, sans espoir, la procédure n’aboutissant jamais en Chine. Au total depuis fin 2013, 400 croix ont été retirées et 35 lieux de culte ont été détruits dans le Zhejiang, une province du sud-est qui connaît la plus forte concentration de chrétiens en Chine, majoritairement protestants.

La seule ville de Wenzhou, surnommée la Jérusalem de Chine, compte 1 200 églises. Jusqu’à l’été dernier, la plupart étaient encore surmontées d’imposantes croix rouges, parfois lumineuses.

 

C’est l’annonce, en mars 2014, de la destruction du plus grand temple protestant de la région, l’église Sanjiang flambant neuve, qui avait mis en lumière la campagne antireligieuse du gouvernement de la province. Là aussi, les fidèles s’étaient rassemblés pour tenter de protéger l’édifice. Des échauffourées avaient éclaté avec la police, entraînant arrestations et hospitalisations.

Officiellement dirigée contre les bâtiments ne respectant pas les permis de construire, la campagne « Trois rectifications et une destruction » semble avoir été un prétexte. Un document interne présenté comme un « Document de travail concernant la gestion des bâtiments religieux illégaux », qui a fuité l’été dernier, indique en effet : « Il est crucial d’enquêter et de poursuivre en justice avec la perspective de la loi, pour éviter de tomber sous le feu des critiques. »

Libertés en recul avec l’arrivée de Xi Jinping

Aujourd’hui, une centaine de personnes attendent un procès pour des infractions qui leur sont reprochées en lien avec cette campagne. En 2014, 99,93 % des personnes jugées ont été condamnées, d’après la Cour suprême chinoise. La campagne aurait pris fin début 2015.

D’après un évêque de Mongolie-Intérieure cité par la presse hong-kongaise, le gouvernement central chinois aurait finalement ordonné de mettre un terme aux destructions de lieux de culte.

Paul Meng Qinglu, également vice-président de l’association patriotique catholique chinoise, affirme avoir entendu cette information lors d’une réunion religieuse à Pékin. « Les leaders religieux de toute la Chine se sont plaints de ces démolitions l’année dernière », a-t-il déclaré au quotidien Ming Pao.

Sans explication officielle, la campagne antireligieuse aurait été provoquée par un changement de personnel à la tête de la province du Zhejiang, alors que la situation dépendait auparavant des relations entre autorités locales et chefs des communautés religieuses.

Plus largement, la liberté accordée à la société civile en Chine a nettement reculé depuis l’arrivée au pouvoir de Xi Jinping en 2012.

Simon Leplâtre (en Chine)

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Le rapprochement entre l’Inde et la Chine, «c’est comme gravir une montagne»

Posté par cercletibetverite le 7 avril 2015

http://geopolis.francetvinfo.fr/le-rapprochement-entre-linde-et-la-chine-cest-comme-gravir-une-montagne-57629

Le rapprochement entre l’Inde et la Chine, «c’est comme gravir une montagne»

Par Miriam Palisson | Publié le 07/04/2015 à 09H44

Rencontre sino-indienne sur question frontalière à New Dehli
Le conseiller d’Etat Yang Jiechi (à gauche) et le conseiller à la sécurité nationale indienne Ajit Doval, le 23 mars à New Dehli, lors de la 18e Rencontre des représentants spéciaux pour la question frontalière sino-indienne. © REUTERS/Stringer

La Chine et l’Inde, ces puissances rivales des BRICS, viennent une nouvelle fois de promettre des efforts pour réchauffer leurs relations. Voilà plus d’un demi-siècle que les deux géants asiatiques se regardent en chiens de faïence par-dessus l’Himalaya. Différend frontalier jamais réglé et rivalités économiques aiguisées contredisent une volonté politique de rapprochement affirmée.

Le 24 mars 2015, après deux jours de rencontre à New Dehli, la capitale indienne, les ministres des Affaires étrangères chinois et indien ont communiqué leur résolution commune de «favoriser le maintien de la paix dans les zones frontalières» et de renforcer leur coopération mutuelle, afin de permettre le règlement de cette question ancienne.

«Les différends frontaliers entre la Chine et l’Inde ont été hérités de l’Histoire», a précisé Wang Yi, le ministre chinois des Affaires étrangères, ajoutant que grâce à plusieurs années d’efforts, des progrès ont été obtenus. «C’est comme gravir une montagne. C’est pénible, parce que nous marchons sur un chemin qui monte», a-t-il ajouté.«Des différends frontaliers hérités de l’Histoire»
L’Inde et la Chine n’ont jamais pu se mettre d’accord sur le statut de deux territoires himalayens, l’Arunachal Pradesh et l’Askaï Chin ; le premier, à l’est, est revendiqué par l’Inde comme faisant partie du Cachemire (la Chine, elle, parle du Tibet du Sud), le second, à l’ouest, est considéré par la Chine comme un morceau du Xinjiang. Les deux pays ne parlent pas de frontière mais de «ligne de contrôle actuelle» (LAC) ou «ligne de contrôle effectif» (LCE), dont le tracé n’est pas figé. Les incidents y sont fréquents.

Une patrouille indienne dans l'Arunachal PradeshDes soldats indiens en patrouille à la frontière chinoise, dans l’Arunachal Pradesh, le 31 octobre 2003.
© REUTERS/Utpal Baruah

Ce différend frontalier mais surtout territorial remonte à la naissance de l’Inde indépendante, en 1947 : le pays considère l’Aksaï Chin et l’Arunachal Pradesh comme hérités de l’empire britannique des Indes. Un tracé «colonial», celui de la «ligne Mac-Mahon», remis en cause par la révolution chinoise en 1949. Selon la Chine, ces deux territoires sont des extensions de ses régions du Tibet et du Xinjiang. Après la défaite «humiliante» de l’Inde à l’issue de la guerre sino-indienne de 1962, qui a repoussé la ligne Mac-Mahon en sa faveur, les relations bilatérales ont été totalement gelées pour une bonne vingtaine d’années.

Les relations sino-indiennes, «un chemin qui monte»
Un processus de normalisation a fini par s’amorcer dans les années 80. La décennie suivante apporte une certaine amélioration, avec une progression des échanges commerciaux entre les deux grandes puissances. Dans les années 2000, certains ont même pu avoir, comme le ministre indien Jairam Ramesh, la vision d’une «Chindia», un partenariat stratégique qui redessinerait la géopolitique mondiale, mais la relation de rivalité a été la plus forte.

Economiquement, cette relation est déséquilibrée à l’avantage de la Chine. Même la domination démographique indienne qui se profile à l’horizon 2030 n’est plus un atout. Le commerce bilatéral a explosé, mais c’est au détriment de l’Inde. En 2012, son déficit commercial se creusait à 29 milliards de dollars (22 milliards d’euros) à l’égard de la Chine (15% de son déficit global). «La Chine «atelier du monde» exporte plus que l’Inde «bureau du monde(…) La crispation autour de cette asymétrie commerciale croissante ajoute au malaise général en Inde à l’égard du puissant voisin d’outre-Himalaya», résumait Frédéric Bobin dans Le Monde.

Un triangle stratégique Chine-Etats-Unis-Inde
Depuis 1962, tandis que l’Inde se rapprochait de l’URSS, puissance antagoniste à la Chine, puis, après la chute de l’URSS, du Japon pour une coopération stratégique, Pékin a choisi de privilégier un rapprochement avec le Pakistan, ennemi historique de Dehli, via une coopération militaire – en 2012, l’armée pakistanaise était équipée à 60% d’armes chinoises – et nucléaire.

Depuis 2005, l’Inde, elle, tente de se rapprocher des Etats-Unis. En 2008, Delhi et Washington ont conclu un pacte sur le nucléaire civil qui a beaucoup irrité Pékin. Pour contrarier ce partenariat et diminuer l’influence américaine sur New Delhi, la Chine a compris qu’il lui fallait séduire les Indiens.

Un serpent de mer… ou plutôt de montagne
Et dans ce contexte de rapprochement entamé en 2003, les incidents frontaliers avec intrusions de l’APL chinoise (suspectée d’agir pour son propre compte) se poursuivent, régulièrement suivis d’entrevues de Premiers ministres, groupes de travail et déclarations de bonne volonté. Une «année de l’amitié» entre les deux puissances a même été décrétée en 2006.

Démonstration d'amitié sino-indienne 15 août 2004
Une poignée de mains sino-indienne dans l’Arunachal Preadesh pour célébrer l’anniversaire de l’indépendance de l’Inde, le 15 août 2004. © REUTERS/STR JS/SM

Malgré quatorze cycles de négociations et plusieurs séries d’accords, le problème frontalier n’est toujours pas réglé. La plus récente incursion de l’APL, en avril 2013, dans le Ladakh indien, avait ainsi été suivie d’un sommet «pour la paix et la tranquillité», et d’un appel du Premier ministre chinois à une «poignée de mains au-dessus de l’Himalaya»

Ce 24 mars 2015, la porte-parole du ministre des Affaires étrangères a déclaré lors d’une conférence de presse que «le développement des relations sino-indiennes touche au bien-être des peuples des deux pays ainsi qu’à la paix et au développement dans la région et dans le monde». Pour travailler à ce rapprochement, le président chinois Xi Jinping a effectué une visite historique en Inde en septembre 2014. Le Premier ministre indien Narendra Modi est, lui, attendu à Pékin en mai. Il y sera «chaleureusement accueilli par le gouvernement et le peuple chinois», a promis Wang Yi.

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Matthieu Ricard : »La méditation produit des émotions positives »

Posté par cercletibetverite le 7 avril 2015

http://tempsreel.nouvelobs.com/bien-bien/20150402.OBS6304/la-meditation-produit-des-emotions-positives.html

« La méditation produit des émotions positives »

Colette Mainguy

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Publié le 06-04-2015 à 11h08

Le moine bouddhiste Matthieu Ricard a participé à des expériences scientifiques qui démontrent les nombreux bienfaits de cette pratique sur la santé. Interview.

ur la santé. Interview.

Matthieu Ricard, moine tibétain, docteur en génétique cellulaire et interprète français du dalaï-lama. (Eric Piermont / AFP)
Matthieu Ricard, moine tibétain, docteur en génétique cellulaire et interprète français du dalaï-lama. (Eric Piermont / AFP)

Le bouddhiste n’a jamais occulté le chercheur. Matthieu Ricard, 67 ans, moine tibétain, docteur en génétique cellulaire, interprète français du dalaï-lama, vit au Népal, dans le monastère de Shechen depuis quarante ans. Cela ne l’a pas empêché de souvent prêter son cerveau à la science.

De 1999 à 2011, il a collaboré avec le Mind and Life Institute, une organisation fondée en 1990 par le neurobiologiste Francisco Varela (1946 -2001) et Adam Engle, sous l’impulsion du dalaï-lama pour développer les échanges entre la science et le bouddhisme. Matthieu Ricard y a participé, en tant que chercheur et cobaye, à des expériences visant à mesurer les différentes modifications du cerveau lors de six méditations spécifiques : la concentration sur un seul point, l’amour altruiste combiné à la compassion, la présence ouverte, la visualisation d’images mentales, l’imperturbabilité et la pleine conscience.

Ces recherches, auxquelles prenaient part des « méditants » débutants, ont montré que la méditation en général, et celle sur l’amour altruiste en particulier, entraîne une augmentation considérable des ondes gamma dans le cerveau. Ce qui a pour effet de booster l’activité de cet organe, ces ondes jouant un rôle-clé dans la communication entre les neurones et les différentes aires cérébrales.

« L’Obs » l’avait rencontré à l’occasion de la sortie de son livre, « Plaidoyer pour l’altruisme. La force de la bienveillance », qui fait état de ces découvertes et démontre comment transformer son cerveau par la méditation altruiste. Interview.

Matthieu Ricard  :

L’Obs. Toute votre œuvre témoigne des bienfaits de la méditation, que vous-même pratiquez depuis quarante ans. Quels sont-ils exactement ?

Matthieu Ricard. C’est un entraînement de l’esprit quotidien, un travail auquel le méditant doit s’astreindre avec la même assiduité qu’un sportif ou un musicien. Le but n’est pas d’anesthésier toute sensation en vue d’obtenir une pseudo-béatitude baba cool. Bien au contraire, méditer est une science vieille de 2 500 ans qui rend l’esprit libre, clair et actif, à force d’exercices précis.

A la longue, on se débarrasse de la rumination morbide générée par nos affects les plus négatifs comme le ressentiment, l’auto-dévalorisation, l’envie, la haine de soi et des autres. La méditation, notamment celle sur l’amour altruiste, ne produit que de bonnes émotions dans le cerveau.

Dans votre dernier livre, vous apportez les preuves scientifiques de la modification du cerveau par la méditation, notamment par celle sur l’amour altruiste…

- Avec d’autres pratiquants, femmes et hommes, moines et laïques dont le nombre d’heures de méditation va de 10.000 à 50.000, j’ai participé aux programmes de recherche de nombreux laboratoires de neurosciences, dont celui de l’université de Wisconsin-Madison aux Etats-Unis. Ils étaient menés par Richard Davidson, expert en imagerie des émotions et des effets de la méditation – qu’il pratique lui-même depuis trente ans -, et Antoine Lutz, aujourd’hui chercheur au centre de neurosciences de l’Inserm à Lyon. J’ai aussi beaucoup travaillé avec Tania Singer, directrice du département de neurosciences sociales de l’Institut Max-Planck de Leipzig, et spécialiste mondiale de l’empathie.

Les résultats de leurs recherches sont impressionnants. Ils prouvent, entre autres, que, lorsque l’on médite, plusieurs aires du cerveau liées à la bienveillance, au sentiment d’affiliation avec autrui et à l’empathie, dont l’insula et le cortex cingulaire, sont activées, provoquant des émotions positives, tandis que d’autres, comme l’amygdale, liées notamment à l’agressivité, sont désactivées.

Ces modifications influent-elles sur la santé ?

- Oui. En augmentant les humeurs positives par activation des aires cérébrales liées à la gestion des émotions, elles contribuent, par exemple, à soulager l’anxiété et tout type d’état mental facteur d’isolement comme la dépression. La méditation sur l’altruisme constitue donc un remède à la solitude, elle-même cause de bien des maladies somatiques.

Est-ce valable pour les « méditants » débutants ?

- Oui, heureusement ! Avec un bon guide spirituel, à raison de vingt minutes par jour, au bout de huit semaines, tout un chacun ressent déjà une nette diminution du stress mais aussi des pensées d’auto-dénigrement. S’ensuit alors un processus irrépressible d’ouverture à autrui.

L’équipe de Barbara Fredrickson, professeure émérite de psychologie et chercheuse en émotions positives à l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill, a également montré que la méditation sur l’amour altruiste augmente le tonus vagal, ce qui permet de garder son calme en toutes circonstances.

On devrait introduire la méditation dans toutes les écoles, comme cela commence à se faire aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, et favoriser l’apprentissage coopératif au lieu de la compétition.

En France, la méditation de pleine conscience connaît un tel succès qu’on peut désormais l’apprendre grâce à des méthodes proposées sur internet. Que pensez-vous de cette pratique ?

- Les sites internet et leurs promesses de nirvana par la pleine conscience, c’est n’importe quoi ! Récemment, je suis tombé sur un site qui prétendait apprendre aux gens à « méditer en 3G, mieux et plus vite ». Il garantissait aussi créativité et liberté pour résoudre tous ses problèmes et briller dans tous les domaines. Et promettait même l’acquisition d’un magnétisme capteur de richesses et de gloire !

Quand on pense que la pratique de la méditation, quelle qu’elle soit, devrait conduire à la libération des préoccupations mondaines, on croit rêver ! Tous ceux qui veulent s’initier à cette pratique doivent s’adresser à des professionnels de la santé ou à des guides spirituels confirmés. Gare aux charlatans !

Colette Mainguy

(Article publié dans « le Nouvel Observateur » du 16 janvier 2014)

 

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Chine: des taxis tentent un suicide collectif par protestation

Posté par cercletibetverite le 5 avril 2015

http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20150405-chine-pekin-chauffeurs-taxi-suicide-collectif/
Publié le 05-04-2015 Modifié le 05-04-2015 à 11:10

Chine: des taxis tentent un suicide collectif par protestation

Par RFI
media En Chine, il est interdit aux chauffeurs de taxi de travailler au statut d’indépendant, ici une station de taxis à Pékin en avril 2006. FREDERIC J. BROWN / AFP

En Chine, une trentaine de chauffeurs de taxi ont tenté de se suicider collectivement ce samedi 4 avril à Pékin. Originaires de la Mandchourie, ils étaient venus dans la capitale pour protester contre l’interdiction d’exercer leur profession en indépendants, une réforme qu’ils estiment injuste. Des dizaines de passants ont assisté à cette action impressionnante.

Avec notre correspondante à Shanghai, Delphine Sureau

Ils ont choisi la rue Wangfujing, l’artère commerçante la plus connue de Pékin, pour orchestrer ce suicide collectif. Les chauffeurs de taxi se sont regroupés en face d’un centre commercial où ils ont bu, simultanément, des bouteilles de pesticide. Le tout devant des passants estomaqués, qui filmaient la scène en direct. La vidéo a été postée sur les réseaux sociaux. Quand la police est intervenue, elle a retrouvé le groupe évanoui sur les pavés. Les chauffeurs de taxi ont été hospitalisés, ils sont aujourd’hui hors de danger.

Ces conducteurs étaient venus du Heilongjiang, en Mandchourie, pour protester contre une réforme de 2011 qui leur interdit d’exercer leur profession en indépendants. Les chauffeurs de taxi ont le choix entre rejoindre une entreprise appartenant à l’Etat ou quitter le métier. Ils sont donc venus déposer une plainte à Pékin au bureau des pétitions. Mais devant l’indifférence des autorités, et la violence de la police qui les empêche de manifester chez eux, ils ont décidé de mener cette action coup de poing.

Le suicide collectif est d’ailleurs devenue l’arme des désespérés en Chine. En juillet dernier, sept personnes ont bu du poison devant un journal de Pékin après leur expropriation forcée.

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La guerre de l’eau entre la Chine et l’Inde

Posté par cercletibetverite le 4 avril 2015

http://geotribune.com/9982-la-guerre-de-leau-entre-la-chine-et-linde.html

La guerre de l’eau entre la Chine et l’Inde

4 avril 2015 9:09 0 commentaire La guerre de l’eau entre la Chine et l’Inde dans Chine Antoine Barbizon

brahmapoutre

La construction de digues sur le Brahmapoutre nourrit des tensions grandissantes entre la Chine et l’Inde où les préoccupations environnementales se muent en conflits politiques.

La station hydroélectrique de Zangmu est devenue opérationnelle en novembre dernier. Selon le responsable de la société d’électricité du Tibet, elle devrait résoudre les problèmes de carence en électricité du Tibet. Cette année, cinq autres unités devraient être créées pour compléter ce projet de Pékin. Le gouvernement chinois a également autorisé un autre projet hydroélectrique le long du fleuve Brahmapoutre. Seulement, ces différents projets, barrages, digues, canaux et systèmes d’irrigation, brouillent encore plus les relations entre les différents pays voisins, principalement la Chine, l’Inde et le Bengladesh. L’Inde a installé sur le Gange des barrages qui ont réduit le débit d’eau au Bengladesh. L’agriculture dans le pays a souffert de la salinité accrue des sols, ce qui a fortement contribué à l’exode de milliers de Bangladais ces dernières années et causé de nombreux conflits ethniques.

L’eau est ainsi devenue une armée politique et de nombreux analystes prédisent depuis plusieurs années maintenant une « guerre des eaux » entre l’Inde et la Chine. Les Indiens craignent que les barrages chinois sur le Brahmapoutre n’entraînent de grandes variations dans le débit journalier, entre 0% et 400% par jour, l’eau des barrages n’étant libérée que lorsque les turbines ont besoin de marcher. Le possible détournement du Brahmapoutre vers le nord devrait avoir un impact significatif sur l’agriculture et la pêche. La situation est d’autant plus confuse et tendue que les pays de la région ne communiquent pas sur leurs projets entre eux. L’Inde et le Bengladesh, et dans une moindre mesure la Chine, font partie des pays qui manquent le plus d’eau.

Ecrit par : antoine le 4 avril 2015.
Mis à jour par : gtribune

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La Chine censure des dessins animés japonais

Posté par cercletibetverite le 4 avril 2015

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La Chine censure des dessins animés japonais

Le Monde.fr | 03.04.2015 à 14h47 • Mis à jour le 03.04.2015 à 15h53 | Par Benjamin Benoit

Le 31 mars, le ministère de la culture chinois a annoncé prendre des mesures de rétorsion envers sept sites qui publient des dessins animés japonais – appelés animes –, qui « attirent les jeunes vers la délinquance, l’esthétisation de la violence, la pornographie et les activités terroristes », comme le raporte le site China Digital Times.

Les sites visés sont des équivalents locaux de Youtube, nommés Tencent ou Youku.

Violence, sexualité et terrorisme

Parmi une liste de 29 animes interdits, le ministère cite trois exemples en particulier. On y trouve Blood-C, qui se déroule dans un univers ultraviolent, où l’héroïne, une adolescente, doit combattre des aliens anthropophages.

Highschool of The Dead, lui aussi sur la liste noire, raconte de manière semi-humoristique l’histoire d’une bande de lycéens devant survivre en pleine apocalypse zombie. Très éloigné de The Walking Dead, il montre régulièrement des écolières avec des poitrines démesurées ou dévoile des petites culottes,  sans vraiment de but précis. Diffusé en Europe, cet anime parfois surréaliste a connu un certain succès. « La sexualisation de figures enfantines pourrait devenir un vrai problème pour le gouvernement chinois », a déclaré le professeur Leslie Young à la BBC, faisant référence aux personnages « lolitas », jeunes filles parfois hypersexualisées.

 

 

Image de prévisualisation YouTube

Enfin, Terror in Resonance, réalisé par l’auteur de Cow Boy Beebop ou Samurai Champloo, ne contient ni violence graphique ni références sexuelles, mais montre comment deux adolescents peuvent sombrer dans le terrorisme, voler de l’uranium et berner la police en faisant exploser des locaux dans divers quartiers de Tokyo, tout en expliquant posément leurs motivations et les origines de leur mal-être.

 

Durcissement de la censure des vidéos en ligne

Ce n’est pas la première fois que la Chine prend des mesures contre la diffusion de vidéos étrangères – le pays dispose par ailleurs d’un très puissant système de censure du Web, baptisé le « grand pare-feu ». A la fin mars, elle avait déjà durci les règles régissant les sites de partage de vidéos, en limitant l’accès à des fictions anglophones et en proposant de ne pouvoir publier des vidéos que sous son vrai nom.

Si le ministère n’a pas précisé quelles seraient les mesures prises concrètement, le site de la BBC rapporte que les sites de streaming auront désormais besoin de nouvelles licences pour publier ce type de contenus, approuvées individuellement par un comité d’Etat, tout en rappelant que les chaînes locales sont censées favoriser la diffusion de productions locales. Selon l’agence de presse Reuters, ces mesures ne sont qu’un volet d’une plus grande campagne de contrôle du contenu sur Internet.

 

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Les droits de l’homme mal en point au Cambodge

Posté par cercletibetverite le 4 avril 2015

Les droits de l’homme mal en point au Cambodge

Laurence DEFRANOUX 4 avril 2015 à 13:31
Manifestation le 26 janvier à Phnom Penh, devant la Cour d'appel, en faveur de militantes incarcérées pour avoir défendu le droit à la propriété terrienne.

Manifestation le 26 janvier à Phnom Penh, devant la Cour d’appel, en faveur de militantes incarcérées pour avoir défendu le droit à la propriété terrienne. (Photo Tang Chhin Sothy. AFP)
FOCUS

Trois ONG ont présenté un rapport officieux alarmant, à mille lieues du tableau idéalisé dressé par l’organisme d’Etat chargé de faire le bilan des libertés individuelles.

Quatre morts : c’est le bilan de la répression d’une manifestation d’ouvriers du textile, à Phnom Penh, en 2014, détaillé dans le «shadow report» rédigé par trois ONG sur la situation des droits de l’homme au Cambodge. Trente-six ans après le départ des Khmers rouges, la démocratie n’est toujours pas une évidence pour le royaume. Alors que le Comité cambodgien pour les droits de l’homme, émanation du gouvernement, a présenté, avec dix ans de retard, un rapport idyllique aux Nations unies, à Genève, le 18 mars, la Fédération internationale des droits de l’homme et deux ONG cambodgiennes ont remis de leur côté à l’ONU un rapport alternatif aux conclusions lapidaires.

Pourquoi un «shadow report» ?

Le Comité cambodgien pour les droits de l’homme (CHRC), créé en 1998 par le gouvernement, est particulièrement critiqué pour son incapacité à enquêter sur les violations impliquant des personnes riches ou influentes. Son directeur, Om Yentieng, également à la tête de l’unité anticorruption, est un proche conseiller du Premier ministre Hun Sen, au pouvoir depuis trente ans, et un membre important du Parti du Peuple cambodgien.

Que dénonce ce rapport alternatif ?

L’enquête souligne l’état déplorable des droits de l’homme au Cambodge, «la corruption endémique, la violence systématique contre ceux qui critiquent le gouvernement, l’assassinat d’activistes et de journalistes», et un système judiciaire inféodé au gouvernement royal. Le rapport décrit des traitements inhumains en prison, ainsi que de nombreux cas de torture. Selon les ONG, l’Etat continue d’emprisonner les mendiants, les handicapés mentaux, les prostituées, les sans-abri ou les drogués, et de tolérer le travail des enfants. Plus de 500 cas d’esclavage sont aussi rapportés, notamment du fait d’intermédiaires cambodgiens fournissant des domestiques ou des ouvriers à l’Asie du Sud-Est ou envoyant des femmes en Chine pour être fiancées de force.

Des cas précis sont-ils rapportés ?

Par exemple, en novembre 2014, un jeune homme a été tué de trois balles par des policiers alors qu’il s’enfuyait à vélo lors d’une descente dans un cercle de jeu clandestin. Aucune enquête n’a été ouverte. En octobre, un journaliste enquêtant sur l’exploitation forestière illégale a été tué par un soldat et deux policiers. En juillet, un garçon de 19 ans a été abattu par un soldat parce qu’il cultivait un lopin de terre appartenant à un officier.

Comment ont réagi les experts de l’ONU à la présentation du rapport officiel ?

Devant le tableau édulcoré qui leur était brossé par la délégation d’Etat, ils ont réclamé, en vain, des explications sur les multiples cas de violations des droits de l’homme qui leur avaient été rapportés par les ONG. Phnom Penh est invité à présenter la preuve, d’ici un an, que les multiples recommandations onusiennes seront suivies : protection des minorités et des enfants, abolition de la torture, transparence de la justice, liberté d’expression, prévention des violences sexuelles, égalité hommes-femmes, droit de manifester, etc. Prochain rapport en 2019.

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