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La Chine dit non à un consulat indien à Lhassa, l’Inde devra se contenter de Chengdu.

Posté par cercletibetverite le 2 avril 2015

http://www.tibet.fr/actualites/la-chine-dit-non-a-un-consulat-indien-a-lhassa-linde-devra-se-contenter-de-chengdu/
02/04/15 | 12 h 06 min   

La Chine dit non à un consulat indien à Lhassa, l’Inde devra se contenter de Chengdu.

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La Chine a rejeté la demande de l’Inde d’installer un consulat dans la capitale tibétaine sous surveillance : Lhassa. À la place, la Chine a proposée à l’Inde la mégalopole de Chengdu, capitale de la province du Sichuan fortement industrialisée, aux portes du Tibet.

En échange, l’Inde a permis à la Chine de mettre en place son troisième consulat à Chennai dans l’Inde du sud. La Chine étant le premier partenaire commercial de l’Inde, des responsables indiens ont mentionnés qu’un consulat au Tibet aiderait le commerce bilatéral et les pèlerinages, comme le pèlerinage du mont Kailash.

L’Inde va ouvrir son troisième consulat en Chine dans la ville de Chengdu, après sa proposition de rétablir une mission dans la capitale tibétaine de Lhassa. L’Inde était présente à Lhassa à travers une Mission ouverte en 1947 puis un Consulat général en 1952 avant d’être fermée en 1962 après une brève guerre entre les deux pays (Guerre sino-indienne).

L’accord de mettre en place leurs consulats respectif à Chengdu et à Chennai a été obtenu après que les deux parties aient convenu d’améliorer leurs relations diplomatiques lourdement aggravées par la croissance du commerce et des investissements.

En plus de son ambassade à Pékin, l’Inde compte actuellement un consulats à Shanghai et à Guangzhou. La Chine elle compte deux consulats à Bombay et Calcutta en dehors de son ambassade à New Delhi. L’annonce officielle de cette échange sera faite par le Premier ministre indien Narendra Modi lors de sa prochaine visite à Pékin en mai.

La Chine a également accepté d’ouvrir une nouvelle route pour les pèlerins indiens qui souhaite se rendre au mont Kailash-Mansarovar depuis Nathu La Pass dans le Sikkim.

Le Népal est le seul pays à avoir obtenu un consulat à Lhassa. Les Etats-Unis, en 2008 et 201, ont poussé pour la création d’un consulat à Lhassa, mais le Gouvernement Chinois n’a pas donné suite.

En Juillet 2011, la commission des affaires étrangères des États-Unis à chargé le Secrétaire d’Etat américain à interdire l’implantation de nouveau consulats aux États-Unis jusqu’à ce que la Chine permette la création d’un consulat américain à Lhassa.

La Chambre des représentants des États-Uni en 2009 avait adopté une loi autorisant l’établissement d’un consulat américain au Tibet et permettant également la création d’une « Section Tibet » à l’ambassade américaine à Pékin.

La commission de la Chambre, dans sa Loi sur les relations étrangères actée en 2012, précise que «Le Secrétaire doit chercher à établir un consulat des États-Unis à Lhassa, au Tibet, pour fournir des services aux citoyens des États-Unis voyageant au Tibet et à surveiller les développements politiques, économiques et culturels au Tibet, y compris les régions tibétaines du Qinghai, du Sichuan, du Gansu et du Yunnan et, jusqu’à ce consulat soit établi, ne doit pas permettre la mise en place de tout consulat supplémentaire de la République populaire de Chine aux Etats-Unis « .

Les États-Unis possèdent actuellement cinq consulats en Chine continentale, en plus de leur ambassade à Pékin. Ils sont présent à Chengdu, Guangzhou, Shanghai, Shenyang et Wuhan.

En plus de son ambassade à Washington et sa mission de l’ONU à New York, la Chine possède elle cinq consulats aux États-Unis à New York, Chicago, San Francisco, Los Angeles et Houston.

Notons que la France en dehors de son ambassade également présente à Pékin possède six consulat, Canton, Chengdu, Shanghai, Shenyang, Wuhan et Hong-Kong. La Chine elle est présente en France à Paris pour son ambassade et à Marseille, Strasbourg, Lyon et Saint-Denis (île de la Réunion) pour ses consulats.

 

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Au Vietnam, des militants des droits de l’homme toujours harcelés

Posté par cercletibetverite le 2 avril 2015

http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Actualite/Monde/Au-Vietnam-des-militants-des-droits-de-l-homme-toujours-harceles-2015-04-02-1298335

Au Vietnam, des militants des droits de l’homme toujours harcelés

Alors qu’ils rentraient chez eux après un court séjour en Europe, deux militants vietnamiens ont été longuement retenus à l’aéroport de Hanoï pour interrogatoire.

2/4/15 – 15 H 38

Tran Thi Nga, épouse de l'écrivain Nguyen Xuan Nghia (G.) et Ngo Duy Quyen, époux de l'avocate Le...

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Tran Thi Nga, épouse de l’écrivain Nguyen Xuan Nghia (G.) et Ngo Duy Quyen, époux de l’avocate Le Thi Cong Nhan entourent Geneviève Garrigos, présidente d’Amnesty international France.

Alors qu’ils étaient de retour dans leur pays, mardi 31 mars, Tran Thi Nga et Ngo Duy Quyen ont été retenus à l’aéroport de Hanoï pendant cinq heures pour des interrogatoires policiers. Tran Thi Nga est l’épouse de l’écrivain bouddhiste Nguyen Xuan Nghia. Ngo Duy Quyen, lui, est l’époux de l’avocate catholique Le Thi Cong Nhan. Tous les deux étaient invités, la semaine dernière, à Oslo, Genève puis Paris, pour témoigner de la situation des défenseurs des Droits de l’homme au Vietnam.

Ramenés directement chez eux par la police

« La police les a ramenés directement chez eux, même Madame Nga qui habite à Haïphong, à 300 km d’Hanoï. Et ce pour éviter qu’ils ne rencontrent la petite délégation de militants venue les accueillir à l’aéroport », explique Michel Tran Duc, membre à Paris du parti Viet Tan, basé en Californie (États-Unis) et qui compte environ 10 % de catholiques.

Dans la capitale norvégienne, Tran Thi Nga s’était vu remettre le 22 mars le prix de la Liberté d’expression décerné à son mari par l’Association des auteurs norvégiens. À Genève, les deux militants vietnamiens avaient été reçus par la députée Anne-Marie Von Arx-Vernon qui s’était rendue au Vietnam il y a trois ans, qui avait rencontré la famille de l’écrivain et s’était beaucoup mobilisée pour que celui-ci reçoive en prison les soins médicaux dont il avait besoin.

Besoin de soins médicaux en prison

À Paris, les deux Vietnamiens avaient rencontré Geneviève Garrigos, présidente d’Amnesty International France, puis Nathalie Muller-Sarallier de l’ONG Avocats sans Frontières qui s’est également beaucoup mobilisé pour soutenir l’avocate Le Thi Cong Nhan et qui lui a décerné un prix des droits de l’homme.

L’écrivain bouddhiste Nguyen Xuan Nghia, 65 ans, est l’un des leaders du mouvement « 8 406 », une coalition de partis et de groupes politiques fondée en 2006 et qui plaide pour des réformes démocratiques au Vietnam. Arrêté en septembre 2008 et condamné à six ans de prison pour avoir organisé des manifestations pacifiques contre la Chine, Nguyen Xuan Nghia a fini de purger sa peine de prison en septembre 2014 mais il reste sous le coup d’une assignation à résidence jusqu’en 2020.

Régulièrement harcelée par les autorités vietnamiennes

Quant à l’avocate catholique Le Thi Cong Nhan, 35 ans, elle avait été arrêtée en février 2007 puis condamnée à quatre ans de prison pour « propagande contre l’État ». Depuis sa sortie de prison en 2010, elle continue, avec son époux, de militer pour les droits de l’homme. Son assignation à résidence devait prendre fin août 2013, mais la Sécurité publique a attendu plus d’un an avant de lui remettre les papiers l’autorisant à circuler librement et sa famille reste régulièrement harcelée par les autorités vietnamiennes.

Ces deux militants vietnamiens s’étaient vus décerner par Human Rights Watch, le prix Hellman-Hammett : en 2011, pour l’écrivain ; en 2008 pour l’avocate.

CLAIRE LESEGRETAIN

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Le 2 avril 1959: le dalaï-lama, qui a fui Lhassa, serait en sécurité

Posté par cercletibetverite le 2 avril 2015

Le 2 avril 1959: le dalaï-lama, qui a fui Lhassa, serait en sécurité

Dans la «Feuille d’Avis de Lausanne»On était sans nouvelle du chef spirituel tibétain, disparu lors de la révolte antichinoise de mars 1959.

Tenzin Gyatso peu après son arrivée en Inde.<br />

 

Tenzin Gyatso peu après son arrivée en Inde.

Image: RAYMOND DAROLLE/CORBIS

Par Gilles Simond Mis à jour il y a 36 minutes

Depuis une dizaine de jours déjà, les médias occidentaux se faisaient l’écho de la révolte des Tibétains contre les Chinois. Le 2 avril 1959, la Feuille d’Avis de Lausanne rassure les partisans du dalaï-lama Tenzin Gyatso, alors âgé de 24 ans. Le chef spirituel serait en sûreté, croit-elle savoir: «L’agence officielle de la Chine nationaliste (ndlr: Taïwan) a déclaré que le dalaï-lama avait atteint un repaire sûr au Tibet d’où il dirigerait personnellement la révolte contre les communistes chinois. (…) Les troupes et les avions communistes sont toujours à la recherche du dalaï-lama. Tous les monastères sont fouillés.»

Quelques jours plus tôt, dans les rues de Lhassa, ancienne capitale du royaume du Tibet devenue chef-lieu de la région autonome chinoise, la nouvelle selon laquelle les représentants de Pékin avaient décidé d’arrêter le dalaï-lama avait mis le feu aux poudres. Des Tibétains prirent les armes, prêts à défendre leur «dieu-roi». Des manifestants réclamaient le départ des Chinois et l’indépendance du Tibet. Le 19 mars, les troupes chinoises écrasèrent la révolte dans le sang, faisant des milliers de morts. A la fin du mois, on était toujours sans nouvelles précises du dalaï-lama. Certains le croyaient prisonnier dans son palais. D’autres le pensaient réfugié parmi les résistants et les tribus khampas. On saura plus tard qu’en réalité le dalaï-lama s’était enfui de Lhassa avec son entourage le 17 mars, et qu’après deux semaines d’une marche forcée harassante, il a atteint l’Inde, où l’asile lui fut accordé.

Une répression féroce
Dans cette même édition du 2 avril 1959, la Feuille cite les agences Reuter et AFP: «Selon une source tibétaine, les Chinois auraient fusillé ou pendu, après jugement sommaire, des centaines de Tibétains, à Lhassa. Les corps des suppliciés, pendus à des arbres, auraient été laissés exposés plusieurs jours. (…) On apprend (…) que les communistes chinois ont arrêté des milliers de Tibétains et les ont emmenés en camions, probablement dans des camps de concentration.»

Le quotidien vaudois évoque «le frère aîné du dalaï-lama, Thubten Norbu, âgé de 37 ans, qui s’est enfui du Tibet en 1950, et poursuit ses études depuis trois ans aux Etats-Unis. (…) Il a fait appel au monde libre pour qu’on aide autant que possible les milliers de réfugiés qui ont dû quitter leur patrie. (…) Thubten Norbu a en outre révélé qu’il avait vu son frère pour la dernière fois en Inde en 1956 (…). II ne sait pas non plus si son frère s’est volontairement joint aux rebelles, qui doivent tenter de le protéger des communistes: «Il n’était ni pour les communistes ni pour les rebelles. Il était pour le peuple tibétain.»

Articles parus le 2 avril 1959 dans la «Feuille d’Avis de Lausanne».
Archives consultables sur scriptorium.bcu-lausanne.ch (24 heures)

(Créé: 02.04.2015, 09h38)

 

 

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